Trégueux : Mémoire vive – Eloïse Prioult au national de cross-country !!!

Publié le par Jean Bernard Mest

Trégueux : Mémoire vive – Eloïse Prioult au national de cross-country !!!

Chaque dimanche, Le Télégramme dresse le portrait d’une personnalité de la commune et lui donne la parole. Aujourd’hui rencontre avec Eloïse Prioult athlète au Trégueux athlétisme où elle pratique le cross-country, avec brio d’ailleurs puisqu’elle s’est qualifiée pour la deuxième année consécutive au championnat de France de cross-country dans la catégorie réservée aux juniors. A 18 ans elle espère réaliser le 1er mars prochain aux Mureaux dans les Yvelines une performance correcte, pour y arriver Eloïse s’entraine cinq à six fois par semaine lors des périodes de compétition.

Le Télégramme : Quand êtes-vous arrivé à Trégueux et pourquoi avoir choisi cette commune ? Il y a un an en venant de Ploeuc sur Lié pour me rapprocher de mon club avec mon frère Yannick qui pratique aussi l’athlétisme en minimes dans les disciplines de vitesse et de sauts.

Quelle réalisation a marqué votre existence trégueusienne ? Le complexe sportif de Launay où je m’entraine dans des structures intéressantes, il est agréable et sécurisant surtout en période hivernale où il fait nuit de bonne heure.

Un regret durant ces années ? J’ai du mal à m’adapter à tous ces lotissements, la campagne me manque même si je dois reconnaitre que les espaces verts m’apportent un peu de tranquillité. Mais ce n’est pas véritablement les lieux que je préfère, j’aime être au contact de la nature, de la vraie car là je suis trop en ville.

Quelle manifestation sportive ou culturelle vous vient à l’esprit ? Elle est relativement courte … Alors je n’ai pas beaucoup de recul mais j’ai bien aimé le marché de noël. C’est d’ailleurs la première fois que j’assistais à ce style de manifestation. J’ai apprécié ces artisans qui exposent toutes sortes d’objets originaux de qualité fabriqués de leurs mains.

Un souhait pour terminer ? Terminer la piste d’athlétisme en tartan … je sais que ça coûte cher mais là nous avons une partie sèche sur laquelle nous pouvons travailler correctement la vitesse. Et puis l’autre qui est souvent boueuse voir collante, elle n’est pas adaptée à notre travail spécifique en matière de course à pied.

Jean-Bernard Mest - Dans Le Télégramme du dimanche 15 février 2015 en Locale Trégueux.

Publié dans Mémoire vive

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